Ma peau et le froid… le miracle d’une réconciliation!
Depuis quelques jours, on sent que l’automne a décidé de laisser place à l’hiver: les températures ont chuté, et pour ne rien arranger, il y a pas mal de vent. Du coup, c’est le come back de la peau du visage qui tire. Et s’il n’y avait que ça… Mais j’ai aussi les traits marqués, les ridules d’expressions plus nettes… En gros, ma peau marque plus et se repulpe moins bien que d’habitude.
Désespérée devant mon miroir, j’ai alors repensé à un conseil que m’avait donné ma copine Simone, qu’elle tenait de Sonia, prêtresse de la Blogo Beauty. Ce conseil, je ne l’avais jamais mis en pratique et pourtant la promesse était grande: hyper efficace et très bon marché!
En gros, l’idée est d’utiliser de manière assez particulière la Cold Cream d’Avène pour en faire une sorte de masque (et même de cataplasme, osons le terme!) de nuit.
En cette journée internationale des travailleurs, je vais vous épargner la photo du brin de muguet (que je n’ai d’ailleurs même pas acheté…).
Point de « lily of the valley » sur ce blog, donc… Mais une Lara que je vous propose de rencontrer.
La Lara en question est une jeune photographe talentueuse dont j’affectionne particulièrement le travail: Lara Zankoul. Pourquoi vous parler d’elle aujourd’hui en particulier? Parce qu’en ce 1er mai, elle est sortie du cadre (génialissime) de son imaginaire habituel pour s’ouvrir un peu plus, et nous offrir une œuvre assez incroyable, inspirée des peintures de la Renaissance, et qui colle terriblement bien à cette journée. Je vous présente donc « The Workplace »: (suite…)
Le 28 avril 2014, je m’unissais pour la vie avec mon chéri (souvenir, souvenir). Après des années de vie commune, ça semblait un peu superflu… mais depuis, je vois les choses différemment! Je ne sais pas me l’expliquer, mais j’aime le symbole de cette union. Je l’aime, cette journée qui bizarrement nous représente peut-être plus que les années que nous avons passées ensemble. Je les aime, ces souvenirs qui me tiennent chaud les jours de grisaille au moral…
Je suis sa femme… Il est mon mari…
Ces simples mots ont mis du temps à rentrer dans mon vocabulaire. Aujourd’hui encore, quand je les entends ou que je les prononce, ils me chatouillent. Oui, ils me chatouillent jusqu’à me décrocher un sourire. A chaque fois.
Et je me sens désormais nue si je n’ai pas mon alliance autour du doigt. Moi, celle qui n’avait jamais pu supporter une bague plus de quelques heures…
Enfin bref, je suis sa femme… Il est mon mari…